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Florence Barrier Sophrologue à Martigues

QUI SUIS-JE ?

« Il n’y a pas qu’une vie dans la vie. »

Isabelle Morizet


 

Je m’appelle Florence Barrier. Je suis née à Martigues, où je viens de me réinstaller après 25 années de vie aixoise, parisienne puis lilloise. On revient toujours à ses origines, n’est-ce pas ?

Après une courte incursion dans l’enseignement, j’ai construit ma carrière dans le commerce. J’ai travaillé en tant que responsable pour diverses enseignes, j’ai même créé mon entreprise et géré ma propre enseigne pendant une dizaine d’années. Puis j’ai été recrutée par de grands groupes (Kickers, Sans Complexe, Etam/Undiz…). J’ai été responsable animatrice, formatrice de responsables et adjoints, intervenante en Qualité de Vie au Travail. J’ai tenu jusqu’à 3 magasins en simultané, recruté et formé de nombreuses équipes de vente, supervisé des ouvertures et des fermetures de boutiques. J’ai parfois redressé des magasins au bord de la faillite, ressoudé des équipes désunies. J’ai travaillé pour les plus grands centres commerciaux, notamment en Outlet, et participé à former d’autres managers pour ces centres.

Puis je suis tombée malade.

Se préparer


à l'arrivée d'un bébé

ET VOUS, VOUS PRENEZ LE TEMPS DE VOUS ÉCOUTER ?

Pas de secret entre nous : une endométriose pelvienne profonde + une adénomyose. Mais du genre carabiné. Du genre qui a tout dévasté, du système digestif au système urinaire, en passant évidemment par tout le système gynécologique.

Évidemment, si j’avais écouté mon corps, ça n’aurait probablement pas dégénéré à ce point.

Évidemment, si j’avais écouté mon médecin, ou même mes collègues de travail, je n’aurais pas attendu de ne plus pouvoir me lever pour réagir.

Évidemment, si je n’avais pas eu la tête dans le guidon, j’aurais pu ouvrir les yeux à temps et réaliser que non, ce n’est pas normal de passer son heure de pause recroquevillée au fond de la réserve d’un magasin pour retrouver assez de force afin de pouvoir sourire aux clients jusqu’à la fin de la journée. Même si le sourire était plutôt crispé à cause des douleurs…

Là, à ce point de votre lecture, vous devez vous dire que, quand même, il faut être bien… disons « idiote » pour rester polie, pour attendre autant avant de prendre les choses en main.

Je suis tout à fait d’accord avec vous ! Malheureusement, des « idiotes » comme moi, il y en a bien plus que vous ne le pensez. Des personnes soucieuses de leur travail, de ne pas décevoir leur supérieur, de ne pas surcharger les collègues en s’absentant, de ne pas passer pour des affabulatrices exagératrices (eh oui, combien de fois entendons-nous « c’est normal d’avoir mal pendant cette période, tu es une femme » ?) ou qui ont simplement peur de perdre leur travail, leur promotion, leurs responsabilités. Et puis, la maladie ça tombe toujours au mauvais moment (« je verrai après les soldes, après les vacances, après... »).

Et, endométriose mise à part, le principe est tout aussi valable pour les hommes : « un homme, ça ne se plaint pas », combien de fois n’avons-nous pas entendu cette sentence ?

Bureau - travail

Mieux canaliser


ses émotions, son stress

étoile de mer

LA MALADIE A CHANGÉ MA VISION DE LA VIE

Dans cette épreuve (9 opérations à ce jour, plusieurs transfusions, séances de kiné, traitement à vie...), j’ai eu la chance d’être accompagnée et soutenue par mes proches et mes amis, ce dont je ne les remercierai jamais assez. J’ai aussi eu la « chance » d’être en arrêt suffisamment longtemps pour pouvoir me rendre compte que la vie ne se réduit pas à son travail. Et finalement comprendre que, même si j’adorais mon job et qu’il m’apportait de grandes satisfactions, il générait également une charge de stress phénoménale. Et que vivre dans le stress, ça n’a rien de sain.

Par la force des choses, j’ai appris à souffler, à ne rien faire (les journées à l’hôpital sont longues et fort peu passionnantes), à regarder les fleurs pousser. Et, contre toute attente, moi qui avais toujours vécu à 100 à l’heure, ça m’a plu !

Peu à peu, j’ai réalisé que je n’avais plus envie de réintégrer le cercle vicieux du métro-boulot-dodo (et encore, dodo, seulement quand les ruminations ne prennent pas le pas sur les cycles du sommeil…). J’en étais sortie, malgré moi je vous l’accorde, et c’était finalement une des choses les plus positives qui me soient arrivées dans la vie !

À partir de là, s’ouvrait à moi le champ (presque) infini des possibles.

Mobiliser


ses ressources

ET LA SOPHRO, DANS TOUT ÇA ?

Après 20 années passées dans le Nord de la France, j’ai dû être rapatriée dans ma famille, sur Martigues. Je ne sais pas si c’est le climat, la nonchalance ambiante, les parfums du thym et de la lavande, mais il m’a paru soudain évident que je resterais ici. Évidemment, le fait que tous mes proches habitent dans les environs a aussi pesé dans la balance. J’ai toujours adoré Martigues (j’ai même écrit un - petit - livre dessus… eh oui, comme je disais, il n’y a pas qu’une vie dans la vie !), mais je ne pensais pas y revenir avant ma retraite.

La maladie m’a fait comprendre qu’il y avait des priorités : ceux qu’on aime. Et mon arrêt maladie m’a aussi fait comprendre que je pouvais vivre mieux en gagnant moins. La qualité de vie, ça n’a pas de prix.

Durant mes séjours hospitaliers, j’ai croisé des ostéopathes, des psychologues, des sophrologues… J’étais si mal et ils m’ont apporté tellement de soutien que je pleurais à chaque fois que je devais les remercier, tant je leur étais reconnaissante du soulagement physique mais surtout moral qu’ils m’apportaient. Car je ne vous cache pas que, moralement, j’étais vraiment au plus bas...

Un métier parmi tous s’est détaché : la sophrologie. J’en avais déjà fait auparavant, mais un peu par hasard, un peu sans conviction, et à peine quelques séances. Quelques séances qui m’avaient pourtant aidée à relâcher la pression et moins souffrir du stress (qui se manifeste chez moi, entre autres, par de grosses courbatures et de douloureuses contractures musculaires).

Mais là, ça a été une révélation : « c’est ça que je veux faire quand je serai grande ! »

Bon, être grande, j’avais fait une croix dessus depuis bien longtemps, mais être sophrologue, ça c’était encore possible.

Ce qui m’a motivée, avant toute chose, c’est le désir et l’espoir de pouvoir aider les gens comme j’avais moi-même été aidée. Une façon de renvoyer l’ascenseur à l’univers. Et, si dans ma nouvelle carrière de sophrologue, je ne parviens à aider ne serait-ce qu’une seule personne, je n’aurais pas fait tout ça pour rien !


 

Me voilà donc aujourd’hui à vous déballer ma vie (vous êtes encore là ? Bravo !). Il me semblait important que vous sachiez mieux qui je suis, mon parcours et mes motivations. Après tout, si nous devons passer plusieurs séances ensemble, c’est la moindre des choses, non ?

smiley joie

Préserver


son équilibre, sa santé

logo école SophroPACA Académie de Sophrologie de Paris logo

MA FORMATION

Et pour encore plus de transparence, voici mon parcours de formation :

Après avoir longuement comparé les différentes écoles dispensant l’enseignement pour devenir sophrologue, mon choix s’est porté sur l’école SophroPACA, à Aubagne, certifiée RNCP, sous la direction de Laurent Di Nardo.

De toutes, c’est celle qui dispense le plus grand nombre d’heures de formation (400 heures), le plus grand nombre d’heures d’expérimentation de séances (car oui : être sophrologue ce n’est pas juste apprendre des cours par cœur, c’est avant tout une pratique au quotidien. Iriez-vous suivre des cours de sport avec un coach qui reste dans son fauteuil pendant que vous courez ? C’est pareil pour la sophrologie : un bon sophrologue doit avant tout pratiquer sur lui-même). C’est aussi l’école qui exige le plus grand nombre d’heures de stage avant de valider la formation. Et le diplôme final (titre RNCP) est validé par l’Académie de Sophrologie de Paris, créée par le Dr. Patrick-André Chéné.

Il m’a paru évident que si je voulais faire les choses sérieusement, c’est là que je devais m’inscrire.

C’est au sein de cette même école que j’ai également suivi et validé mes différentes spécialisations (gestion de la douleur, sophrologie en entreprise, sophrologie et sommeil).

Je ne regrette pas mon choix : avec le recul et une meilleure connaissance du milieu, je constate que les sophrologues qui sortent de cette école ont des bases bien plus solides que partout ailleurs, un sens de la bienveillance et de l’écoute plus développé, et il s’y crée un climat d’entraide unique, ce qui est un gage de qualité (car même avec une excellente formation, il faut savoir accepter que nous ne savons pas tout, et parfois demander l’avis et le conseil de ses confrères/consœurs).

À côté de la sophrologie, par passion car je m’intéresse aux états modifiés de conscience, j’ai suivi une formation pour devenir praticienne en photostimulation. La formation a été dispensée par Kevin Finel (hypnothérapeute et fondateur de l’ARCHE, la plus grande école de formation à l’hypnose) et Brice Battung (hypnothérapeute, formateur en hypnose médicale et également formateur à l’ARCHE). Pour plus d’informations sur cette pratique, je vous invite à consulter la section « photostimulation ».

Voilà, cette fois, vous savez (quasiment) tout de moi !

Je reste à votre disposition pour toutes vos questions et interrogations, n’hésitez donc pas à me contacter, ce sera un plaisir de faire votre connaissance !

Et merci de m’avoir lue jusqu’ici !

Gérer ses émotions


Prendre du recul